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LA RICHESSE

 

 Ma force et ma sagesse

Que J’emplois pour posséder une richesse

Qu’ on ne peut acquérir d un simple geste

Même si on était l un des plus grand poète

Cette richesse qui m’éperonnait a faire toutes ces

Œuvres

Me chassait dans toutes mes nuits comme un louve,

Qui guidait ma raison sans le savoir

Me jetait parfois dans un purgatoire,

Achopper a des obstacles tout le temps,

Sans choix obliger d’affronter ces pythons,

Dans ces Abysses que je juge abominable

S’abstenir est une chose probable,

Non parce que je sens une abolie

Mais la raison est celée,

Visible elle est abstruse quand même,

Sans choix on ne peut pas résoudre le problème,

Obliger de rester et c’est accablant,

Me rendant de plus en plus vacillant.

 Richesse toi qui a su accoter ma balance,

Et maintenant je n’ai  plus de chance ;

J’abonnirai mes démarches,

J’accepterai blessures et leurs charges,

Même dans les abysses je respirerai

Je suis fasciné je te possèderai.

 

 

LE ROYAUME

 

La quasi-totalité sombre dans la tristesse,

Le reste célèbre la victoire de la noblesse 

les premiers cherchent à renverser cette logique

les seconds maintiennent leur intérêt mystique.

Un combat soutenu depuis la nuit du temps,

rythme la vie depuis longtemps.

Engendre les événements ordinaires,

parfois leurs causes sont obscures loin d’être claire.

Façonne les grandes époques de ce monde,

les civilisations et les décadences fécondes.

Anticipe la réalisation des désirs de certains,

les autres il leur fait perdre leur latin.

Un combat pour un intérêt commun ou individuel,

rend la vie pour certain cruelle.

son but l’amour la liberté ou l espoir,

chasse la haine l esclavage ou le désespoir.

Pour tout amour ;

la haine est autour.

Dans toute liberté,

il y a un esclavage décliqueté.

Le désespoir est bâtit par un espoir,

l’amour n arrange pas  ceux qu’ils n ont pas le gout,

la liberté dérange les tyrans debout,

l espoir pour un intérêt commun,

enfante le désespoir chez les individualiste souverains.

Les trois sont issue d une balance éternelle,

pour qu’elle soi a notre faveur on doit alimenter l autel.

S il le faut de toutes les vies, nous devons le faire,

dans chaque endroit de l univers.

Nous devons le faire  sans reculer,

sans avoir peur, sans vaciller.

 

 

 

LE FUTUR DU PASSE

 

Dis ! Dis à ceux avides  de nouvelles, insatiable d’explications. Dis que tu conjugues le singulier au multiple ; que l’apparente similitude débusque toujours un univers contrasté. Tel que je le suis, tel que le sont mes semblables

Dis leurs que je pèse toujours sur ce siège,  les kilomètres avalés alourdissent un cœur blessé, une plume qui ne parvient plus à se faire l’interprète d’un monde, d’un environnement devenu étranger aux mots mêmes.

les images défilent et se confondent,

entre le superficiel et le profond,

certaines arrivent subitement ou doucement

en même temps d autres  se dissipent brusquement ou lentement.

Les visages et les voix racontent au mieux cette réalité qui se refuse aux mots. Ils sont dans ce film un fragment de ce que je suis, ce que  je vois et  vis.

Un morceau de ma vie,

façonnée dans  plan,

tissée en calligraphie,

a la poésie la fin correspond.

Dis leurs que je vis  un réel   formé par deux fictions,   

Dans cette jonction se mêle modernité et tradition

douleur et jouissance construction et destruction.

 

dis leurs  au départ  ou a l ouverture j’ emportes   toujours mon  vécu au  talon de mes   souliers et  au retour  je  ramènes  des fragments d un nouveau monde.

 

Je conçois le temps dans lequel  ma personne est admise,

et que  ma vie est cette mobilité ,  Un  rapprochement formé par un frottement, un effacement et une substitution,

dans lequel  le futur a pris la place de mon  présent  qui fait déjà  passé,

Mais qui ne  peut jamais être complètement  effacé.

 

Dis leurs que  Le passé plein   d’habitude et  de mémoire,

tantôt me fascine, me donne la vie, m inspire et me donne la force,

tantôt me charge  et me freine,

et ce futur plein d imprévus   et de nouveau,

tantôt confort et  ivresse,

tantôt rapidité et  stresse.

 

Dis leurs que ma plume n’est pas encore  légère

et  mon cœur  est toujours  lourd

et les séquelles du passée prospère

par la maladie qu’elles portent autour

et beaucoup ne pensent guère

à la fin de ce parcours, 

simplifient le déracinement et les traumas au simple rythme des tambours.

Je ne renie  ni les habitudes de nos parents,

ni le changement et  la modernité,

se débarrasser des nœuds accablant

est  mon seul souhait en vérité.

 

Dis leurs que  je suis le fruit et  l’esclave le passé. 

Je vais, volontiers ou résigné, au  futur.

Le présent est bel et bien fixée

et l avenir sera le choix des créatures.

 

Mille et une raison, parfois  inconscientes,  justifient notre mésentente et désunion. Entre la négation de soi et la négation de l autre,  pointer son fusil ou baisser la tête, tendre la main est sans doute la meilleure manière de tracer son destin.

Un chemin qui ne soit pas le fruit amer de l’extrême mais de la douceur du juste milieu, un positionnement adéquat comme la distance à la braise entre  la brûlure et le froid.

 

 

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